Encore une fois, nous l’avons joué “Gypsies” en refaisant nos valises, ce matin-là ! Il fallait à nouveau se déplacer : nous étions censés repartir pour Bucarest en milieu de journée. Auparavant, nous avons passé la matinée à l’Inspectorat de Ramnicu Valcea pour quelques dernières rencontres instructives et quelques formalités. Nous avons également rencontré le maire de cette ville qui nous a lui aussi fait part de ses projets puis est venue l’heure du départ.
Nous avons donc repris la route, longuement roulé et brièvement déjeûné dans un genre de petit restauroute appelé le Kilomètre 80.
Nous sommes arrivés à Bucarest dans l’après-midi et nous avons procédé aux formalités d’usage quand on s’apprête à quitter un pays : installation dans un hôtel proche de l’aéroport, nettoyage de la voiture de location bref, rien que des activités passionnantes !
Ensuite, nous avons retrouvé Alexandre et pris notre dernier repas roumain en sa compagnie, dans le centre commercial où il nous avait emmenés lors de notre toute première soirée dans son pays. Cela faisait vraiment bizarre de voir ce stage se terminer d’une manière en tout point identique à son commencement. En se forçant à peine, on aurait pu se persuader que le stage n’avait pas encore commencé, que nous n’en étions encore qu’à la première soirée et que tout restait à découvrir ! Mais non ! Il fallait se rendre à l’évidence : la parenthèse roumaine se refermait et il fallait déjà songer à retrouver son quotidien et à laisser derrière nous tous ces gens qui nous avaient si chaleureusement accueillis !
Nous avons ensuite pris le temps de visiter Bucarest , guidés par Alexandre, mais comme la nuit était déjà tombée, je n’ai pas pu prendre grand chose en matière de photo intéressante. Il y a pourtant de fabuleux monuments à voir !
Il faudra vraiment que je retourne dans ce pays hors stage professionnel pour en découvrir encore plus de merveilles !
Il faudra vraiment que je retourne dans ce pays hors stage professionnel pour en découvrir encore plus de merveilles !
Mais le lendemain, nous devions nous lever tôt pour rallier l’aéroport alors nous sommes repartis à notre hôtel pour une nuit un peu trop brève.
Le lendemain, à la première heure, nous nous sommes rendus à l’aéroport de Bucarest qui est sans doute l’un des plus mal organisés du monde et nous avons tout refait à l’envers : restitution du véhicule de location, vol Bucarest-Beauvais, arrivée en France où il faisait, cette fois-ci, beaucoup plus froid qu’à nôtre départ ! Une transition brutale avec la Roumanie où régnait une véritable canicule. Ensuite, car jusqu’à Paris où Sophie et moi avons laissé nos trois petits enseignants et enfin cap sur Toulouse. Une journée très longue à vivre et pas très intéressante à raconter, en fait ! Voyager un 13 juillet est une assez mauvaise idée ! Il y avait du monde partout et même le taxi qui nous a ramenées à nos domiciles respectifs a galéré.
Au final, je suis arrivée chez moi relativement tard (en toute fin d’après-midi ou en tout début de soirée, c’est selon !) mais le cœur en fête et des souvenirs plein la tête. Avec, surtout, beaucoup de choses à raconter !
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