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16 novembre 2014

En passant par la Lozère.

J’ai donc fini par revenir de ce sympathique séjour à Paris et par reprendre le boulot… pour mieux repartir, la semaine dernière ! Il s’agissait cette fois de se rendre en Lozère pour une formation de trois jours en rapport avec les Relations Internationales et les outils numériques. Trois jours intenses et passionnants ! Déjà, le premier jour, nous avons fait cinq heures de route pour rallier l’établissement qui nous accueillait. Le temps de s’installer et de prendre un repas léger et ce furent directement cinq heures de formation démarrant sur des chapeaux de roues ! Le soir venu, un repas gastronomique et relativement festif nous permit de nous connaître un peu mieux… Du moins, cela me permit-il à MOI de connaître un peu mieux les autres participants à cette formation, la plupart d’entre eux ayant déjà travaillé ensemble. Nous avons même conclu la journée par une petite balade dans la ville de Florac qui est plutôt calme mais tout à fait charmante.

Le lendemain, grosse, très gosse journée de travail. Nous avons commencé le travail aux premières heures de la matinée pour finir… en soirée ! Heureusement, la journée a été coupée par un long temps de pause au cours duquel nous sommes allés faire une saine balade sur le Causse Méjean, ce qui nous a permis de respirer du bon air, de bouger un peu et d’admirer des paysages tout à fait magnifiques !

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Vraiment somptueux ! Et nettement moins froid que je ne l’avais imaginé ! Et quelle ambiance sympathique dans l’établissement qui nous a reçus ! Bonne entente, timings parfaits, nourriture locale surnaturellement savoureuse, logements spacieux et confortables…  Peut-être ne faut-il pas se laisser enthousiasmer par un endroit où l’on ne séjourne que quelques jours. Sans doute ne faut-il pas confondre formation limitée dans le temps et vie quotidienne mais j’avoue que si Florac n’était pas si loin de tout pour quelqu’un qui, comme moi, ne conduit pas, je me serais peut-être laissée aller à quelques rêveries où il aurait été fortement question de demande de mutation ! Hélas, malgré la présence  de quelques commerces et autres commodités, je ne pense pas que je pourrais me contenter de vivre la-bas !  La ville la plus proche, Mende, se situe à 35 minutes de voiture, pas de train, juste un car qui s’y rend en début de matinée et en fin de journée ! Je crois qu’il faut donc éviter de rêver ! Après tout, je vis dans un endroit sympathique où tout ce dont je peux avoir besoin se trouve sous ma main, ou presque !

Dernière journée en forme de conclusion des travaux de groupe et de bilan collectif, puis il fallait déjà songer à repartir. Je suis arrivée chez moi à la nuit tombée, la tête pleine de notions nouvelles mais le cœur léger.  Vraiment un temps de travail formidable, dans une ambiance fabuleuse ! On aimerait que le boulot ressemble toujours à ça ! Je repars avec de nouveaux outils sous la main, de nouvelles compétences – enfin je l’espère ! – et l’équipe dans laquelle j’effectue un demi-service nourrit déjà de nouveaux projets ! Affaire à suivre, donc !