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22 décembre 2010

Fin de la parenthèse parisienne.

En ce "petit matin frileux" du vendredi 10 décembre 2010, le plat et désagréable quotidien a repris ses droits avec une rare virulence. 
Comme à mon habitude, j'attendais bien tranquillement mon bus quand je me suis aperçue que je ne trouvais pas ma carte "Pastel", une carte qui permet un accès gratuit aux transports en commun et à laquelle j'ai droit étant donné ma situation de personne handicapée. Je ne me suis pas particulièrement inquiétée car, en bonne représentante du sexe résolument beau et prétendument faible, je me balade avec un sac à main trop grand, trop rempli et souvent mal rangé dans lequel cette carte peut avoir tendance à s'égarer. Mais cela ne semblait pas être le cas, cette fois. Je me suis alors dit que, dans l'agitation de la balade en ville de la veille, j'avais probablement laissé ladite carte dans une des poches du manteau que je portais alors : un anorak gris qui ne m'avait pas tenu suffisamment chaud et que j'avais troqué ce vendredi contre une bonne veste de cuir fourrée ! J'ai donc attrapé mon téléphone mobile pour appeler Maman et lui suggérer de regarder dans les poches de l'anorak histoire de voir si ma théorie se vérifiait ce qui, à défaut de me rendre ma carte à temps, m'aurait au moins tranquillisée. C'est le moment qu'à choisi le bus pour arriver. J'y monte, donc, mon iPhone à la main, salue le chauffeur comme à mon habitude et, soucieuse de ne pas boucher le passage (rien ne m'énerve plus que les gens qui s'agglutinent à l'avant du bus sans considération pour ceux qui veulent y monter !), je vais m'asseoir dans le premier siège libre, afin de farfouiller à l'aise dans mon sac sans lâcher mon portable dont je pensais me servir en poursuivant mes recherches ! Là-dessus, le chauffeur m'interpelle sèchement en faisant remarquer bien fort et devant tout le monde que je n'avais pas pris de titre de transport ! Je reviens vers lui, lui explique ma situation mais il ne veut rien entendre, prétendant que je n'avais pas à aller m'asseoir directement sans avoir composté quoi que ce soit, que de toute façon, je n'étais pas en train de chercher ma carte (C'est la meilleure, celle-là ! ) et que si je voulais chercher mon titre de transport, je n'avais qu'à le faire en restant près de lui ! Le problème est que ces fichus chauffeurs de bus ont une conduite assez "sportive" (ô, euphémisme !) et qu'il est quasiment impossible de rester debout dans une travée sans risquer de se casser lamentablement la figure si on ne se cramponne pas solidement à quelque chose ! Or, moi, je ne suis pas équilibriste, loin de là ! Je dirais même que mon sens de l'équilibre naturel est fortement amoindri par le fait que je n'y voie que d'un œil : en cours de gym, par exemple, je n'ai jamais pu me tenir sur un seul pied, marcher sur une poutre et autres joyeusetés de ce genre ! Mais je m'égare ! 
J'ai essayé d'expliquer la situation à ce chauffeur mais, très énervé, il n'a rien voulu entendre ! Tant et si bien que j'ai fini par lui dire "C'est bon, je vais vous le payer, votre ticket ! Pleurez pas !"   tout en joignant vigoureusement le geste à la parole. Certes, je reconnais que j'ai un peu perdu mon habituel sang-froid mais cette personne était vraiment désagréable, péremptoire, autoritaire et tout ce que vous voudrez. Il a même été jusqu'à me dire d'un ton très hautain : "Chez moi, ça ne marche pas comme ça !". Mais chez moi non plus ça ne marche pas comme ça et c'est bien ce que j'ai répondu à ce cher Monsieur, ajoutant que je prenais les transports en commun toulousains depuis plus de huit ans et qu'on ne m'avait jamais parlé comme ça ! C'était d'autant plus vexant que je n'avais pas du tout l'intention de resquiller ! Une fois assurée que ma carte n'était pas dans mon sac, je serais spontanément allée acheter un titre de transport, inutile de me parler comme à la dernière des dernières ! Je ne suis pas une voleuse, Monsieur ! Je ne suis pas issue d'un milieu de voyous ! Je prends ce maudit bus pratiquement tous les jours et deux fois par jour depuis plus de huit ans pour m'en aller gagner honnêtement ma vie ! Tout s'est toujours très bien passé et  pour une fois que ce genre de souci m'arrive, il faut que je tombe sur un énervé qui se prend pour un justicier ! N'y avait-il pas moyen de me dire gentiment : "Désolé mais si vous ne pouvez pas me présenter votre carte, je suis obligé de vous faire payer ce déplacement mais vous pourrez vous le faire rembourser sur présentation du ticket et de la carte dans nos bureaux du centre-ville !".  Car c'est ainsi que les choses se passent. Une collègue (gentille, elle !) me l'a expliqué alors que ce Monsieur s'est bien gardé de me le dire ! De toute façon, je n'irai probablement pas me faire rembourser ce ticket ! Je ne suis pas à 1,50 € près ! Et je n'ai pas l'intention de devenir malhonnête pour une somme si dérisoire !
Bref, je suis rentrée au boulot dans un état de fureur noire, profondément humiliée que ma probité ait été ainsi mise en doute devant témoin ! Mais la journée s'est écoulée et d'autres soucis sont venus. 
Soucis de travail, bien sûr et il y avait aussi les résultats de mon examen que je ne voyais jamais venir. Je croyais en effet me rappeler qu'ils m'avaient été communiqués par e-mail l'année précédente. J'avais beau avoir le sentiment d'avoir mieux fait que l'an dernier, j'étais quand même un peu fébrile. C'est alors qu'une de mes collègues a déboulé dans mon bureau, l'air faussement jovial et m'a déclaré sans ambages : "Bon, eh bien l'année prochaine, on le préparera mieux que ça, cet examen !". C'est ainsi que j'ai su que je n'étais pas reçue ! La tête de ma pauvre collègue quand je lui ai dit qu'elle venait de me l'apprendre ! Le moins qu'on puisse dire est qu'elle avait mis les pieds dans le plat ! Elle était persuadée que j'étais déjà au courant ! En fait, il ne fallait pas attendre qu'on nous envoie l'info ! Il fallait aller la chercher sur Internet. Elle l'avait fait. Pas moi ! Moi, j'ai toujours un métro (voire un bus !) de retard ! 
La pauvre fille était vraiment confuse mais de mon côté, je me suis sentie profondément frustrée et démotivée ! Je pensais tellement avoir mieux réussi mon coup que lors de ma précédente prestation ! 
A l'heure où j'écris ces lignes, je n'ai toujours pas reçu ma note. 
Tout ça pour dire qu'entre l'humiliation du matin et la déception de l'après-midi, je n'avais vraiment pas le moral au beau fixe. 
J'ai terminé le mois en travaillant beaucoup et même plus que de raison !  J'ai aussi revu mon gracieux chauffeur de bus à plusieurs reprises. Maintenant, quand je monte, je ne manque pas de lui présenter ma carte avec une certaine ostentation avant de valider mon transport mais je ne lui dis ni bonjour, ni au revoir, ni merci ! Il m'a trop mal parlé la dernière fois et il y a des limites au masochisme ! Je salue et remercie tous les autres mais pas lui ! En prime, il n'a pas l'air disposé à reconnaître son erreur ! Il me regarde de travers et l'autre jour, savez-vous ce qu'il a fait ? Il a fait semblant de ne pas voir que j'avais demandé l'arrêt devant mon lieu de travail (l'arrêt que je demande tous les matins, donc ! Ou celui auquel je monte tous les soirs !) et il a filé directement jusqu'à l'arrêt suivant ! Arrêt auquel il a bien été obligé de stopper puisque des gens attendaient sous l'abri-bus ! Mais je suis sûre que s'il n'y avait eu personne, il m'aurait convoyée jusqu'à la station de métro ! Je ne lui ai pas fait le plaisir de protester ! En descendant un arrêt trop tard, je lui ai dit que c'était vraiment très intelligent, ce qu'il avait fait et je suis partie ! Avec ses idioties, je suis arrivée en retard, bien sûr ! Quelle mesquinerie, c'est lamentable ! Assurément, ce Monsieur a voulu se venger mais se venger de quoi ? Du fait que je lui aie tenu tête lors de notre affrontement ? Du fait que je le fasse passer pour un imbécile puisqu'il n'a pas voulu croire que j'avais droit au transport gratuit alors qu'en fait, c'était le cas ? Je le lui ai payé, son ticket alors pourquoi cette petite vengeance puérile et grotesque, je vous le demande !En tout cas, je n'ai rien dit pour ces deux fois mais si un nouvel incident se produit, cette fois, je n'hésiterai pas à le signaler ! Et comme dirait si joliment Tinky "Merde, à la fin !". 
Tout ça pour dire qu'après toutes cette agitation, toutes ces sources de soucis, de déception ou d'énervement, toutes ces heures supplémentaires, toutes ces mesquineries, tous ces gens désagréables, tous ces faits divers affreux, je suis ENFIN en vacances. Je vais pouvoir déconnecter un peu, revoir ma famille, profiter des fêtes et me reposer ! Ca ne va pas être du luxe car j'arrive en cette fin d'année avec l'impression d'avoir quatre-vingt dix ans ! Presque aussi fatiguée que l'an dernier avant l'opération alors STOP ! Ca commence à bien faire ! Avant qu'on vienne me dire qu'il faut encore m'enlever un morceau de moi-même pour que je me sente mieux, je prends une pause plus que nécessaire ! 
J'espère encore écrire un peu sur ce blog avant la fin de l'année. J'avoue être un peu surprise par le nombre restreint de messages que j'ai laissé ici en 2010. Il me semblait pourtant avoir eu pas mal de choses à raconter... 2010 a été riche en événements de tous genres. A savoir ce que nous réserve 2011... Mais il est peut-être encore trop tôt pour en parler.

17 décembre 2010

Séjour parisien et semaine agitée, la suite.

Houlà ! Désolée pour cette looooooongue absence mais j’ai un emploi du temps particulièrement intense en ce moment, tant et si bien que, le soir, je tombe dans le lit sans prendre la peine d’allumer mon ordinateur et je dors. Oui ! Moi ! Vous avez bien lu !
Mais n’anticipons pas et revenons au récit de mon dernier séjour parisien.

Mardi 7 décembre était le grand jour : celui de mon examen. Après un déjeuner japonais (nous avions déjà mangé nippon dans un autre établissement la veille : presque deux jours dans la capitale et toujours pas un repas français !), Tinky et moi avons filé sur place sans tarder et même en avance, ce qui fait que j’ai pu passer mon épreuve plus tôt que prévu. Une bonne chose de faite, finalement !
J’étais censée avoir sept minutes pour m’exprimer. C’est du moins ce qu’on m’avait dit lors d’un examen blanc sur mon lieu de travail et, après diverses répétitions au cours du week-end, je m’étais chronométrée à six minutes et une trentaine de secondes. Mais une fois sur place, on ne m’a accordé que cinq minutes pour m’exprimer. Il a donc fallu que je me résolve à faire des coupes sévères dans mon exposé et ce, sans réfléchir. J’ai eu toutefois l’impression de m’en sortir sans mal. Le jury, de son côté, ne m’a posé que trois questions très ciblées auxquelles j’ai vraiment eu le sentiment de répondre pertinemment. Les choses ont été très vite. Je ne savais pas si c’était un bon ou un mauvais signe mais, forte de ces impressions positives, je suis partie de là le cœur léger et j’ai passé avec Tinky une soirée des plus agréables : apéro chez le caviste attitré de Tinky, repas italien et visionnage d’épisodes de Stargate Atlantis en bonnes passionnées de sciences-fiction que nous sommes !
Le lendemain, la neige s’était mise à tomber sur Paris. Et pas qu’un peu ! C’était la première fois que je voyais la capitale sous un manteau blanc si épais :
Le boulevard de Reuilly sous la neige


Après une choucroute roborative (enfin un mets national !) nous avons rallié la gare sans trop tarder car les chutes de neige allaient en augmentant. Or, malgré l’agréable compagnie de Tinky, je ne pouvais absolument pas me permettre de passer un jour de plus loin de Toulouse : une réunion importante était programmée le lendemain matin au bureau et, l’après-midi, je devais revoir mon chirurgien pour une visite de contrôle puisqu’il y a pratiquement un an que j’ai été opérée.
Les chutes de neige étaient intenses et je n’étais pas sans inquiétude mais  finalement,  j’ai fait partie des heureux qui ont pu passer entre les flocons et rentrer chez eux après un voyage paisible, sans rester bloquée en chemin.



Les abords de la gare Montparnasse et les bus de ville déjà bloqués ce 8 décembre 2010 en milieu d’après-midi.
Je suis arrivée chez moi assez tard mais dès le lendemain, j’étais d’attaque : il le fallait. La réunion s’est bien passée et la consultation a été rassurante : je vais aussi bien qu’on puisse aller après une intervention de ce genre et la cicatrisation est parfaitement parachevée, même si la balafre reste un peu sensible.
Ce jeudi s’est terminé par une balade tranquille sur le Marché de Noël en compagnie de Maman qui avait suivi le mouvement, histoire de faire un petit tour en ville avec moi. Hormis quelques macarons et le traditionnel verre de vin chaud, nous n’avons rien acheté et il faisait bien froid.
Sur le chemin du retour, hélas, nous avons aperçu de l’agitation au niveau de la route qu’empruntait notre bus.  Juste le clignotement bleu et froid de plusieurs voitures de police ainsi que, sans doute, des ambulances. Déjà les rumeurs allaient bon train mais ce n’est que le lendemain que nous avons pu savoir ce qui était vraiment arrivé. Une fois encore, il s’était passé quelque chose de terrible non loin de chez moi.
Horrible, franchement ! J’y ai marché, un jour, sur cette fichue voie ! La fois où les Lettonnes étaient venues nous rendre visite à Toulouse, comme je le racontais ici ! Pauvre petit gars ! Il a commis une imprudence terrible mais je crois pouvoir dire sans trop m’avancer que bon nombre d’habitants de Ramonville ou de Castanet Tolosan l’ont commise aussi ! Moi la première ! Moi, si peu aventurière ! Il semblerait, en prime, que je n’aie guère que des faits divers affreux à raconter, en ce moment !
Mais je relaterai la suite de mon existence palpitante dans un prochain article, car je n’en ai pas fini, justement, des histoire de bus !

12 décembre 2010

Un nouveau séjour dans la Capitale.

La semaine qui vient de s’écouler a été riche en évènements variés ! Dimanche soir, je suis partie à Paris où je devais passer un examen professionnel, comme l’an dernier, pour tenter de monter en grade. Ledit examen était prévu le mardi. En attendant, j’allais passer un peu de temps chez Tinky qui revenait de ses Pyrénées natales et que j’allais retrouver à la gare Montparnasse.
Alors déjà, le train s’est retrouvé arrêté une bonne vingtaine de minutes en gare de Moissac “suite à un acte de malveillance”. On se demande un peu où va le monde, quand même ! Un acte de malveillance ! Tout ça a été arrangé sans trop de mal mais nous à fait arriver à Paris avec un léger retard.
J’ai quand même retrouvé Tinky sans difficultés et, après nous être accordé un phö réconfortant dans un petit restau chinois miraculeusement ouvert en cette fin de soirée, nous sommes rentrées nous mettre au chaud dans son appartement de Hobbit. C’est qu’il faisait bigrement frisquet, dans la Capitale, contrairement à la région Midi-Pyrénées dont j’arrivais directement ! Même dans l’appartement minuscule, en dépit du chauffage à fond, il faisait tout juste chaud ! Maudit hiver !
Pour ce lundi, Tinky avait prévu une visite à la Cité des Sciences. Et c’est là que la Lose a frappé pour la première fois de la semaine ! Car Tinky pensait que la fermeture hebdomadaire de cet endroit était programmée le mardi or, c’est le lundi qu’elle se produit ! Nous n’avons donc rien pu voir si ce n’est l’extérieur de la Géode, magnifique structure sphérique recouverte de miroirs qui la font curieusement ressembler à une bulle de savon géante à peine visible en dépit de son énormité ! Un monument que je suis ravie d’avoir découvert.

La Géode vue de près

La Géode vue de loin.



Voilà quand même le genre de sottise qui n’arrive qu’à nous !
J’aurais bien aimé que nous profitions de ce contretemps pour filer directement au Musée Grévin où Mika était attendu pour l’inauguration de son double de cire. Malheureusement, seules des personnes ayant reçu (ou gagné) une invitation pouvaient assister à l’évènement programmé en soirée. Bien entendu, j’avais tenté d’en gagner une en m’inscrivant sur Internet mais évidemment, abonnée à la Lose comme je le suis, je n’ai rien gagné du tout ! Bien sûr, il était possible d’aller faire le pied de grue devant le Musée Grévin en espérant entr’apercevoir Mika au moment de son arrivée ou de son départ mais j’imaginais difficilement contraindre Tinky a demeurer debout dehors pendant plusieurs heures et dans un froid polaire pour un résultat des plus hypothétiques ! Mais je crois que toute seule, j’aurais sans doute tenté le coup ! Tinky qui craint que je me fasse un jour agresser par d’autres fans, préfèrerait que je me contente des disques et des concerts de Mika tout en veillant à m’en tenir éloignée mais je ne vois pas pourquoi je devrais craindre quoi que ce soit et me brimer de la sorte ! Je n’ai pas besoin de renoncer à mes rêves, de toute façon : ma vie d’éternelle perdante se charge très bien de les faire passer à toute vitesse sous mon nez ! J’ai donc loupé CE GRAND MOMENT, mais je vous en fait profiter quand même, y'a pas de raison de s'en priver !
Et en plus, on reçoit des nouvelles prometteuses du futur troisième album et d’une éventuelle tournée à venir. Alors que voulez-vous, c’est précisément ce genre d’info qui fait que, malgré une tendance regrettable à voir tous mes rêves se casser lamentablement la figure, je garde au fond de moi un optimisme à tout crin, peu compatible avec ma scoumoune habituelle mais terriblement stimulant.
De toute façon, il ne faut pas que je me plaigne : nous avons quand même passé une bonne soirée. En lieu et place de la visite à la Cité des Sciences nous nous sommes baladées sur un petit marché de Noël qui était très mignon : nous y avons dégusté un vin chaud revigorant et fait le plein de brioche vendéenne et de beignets pour le lendemain (en fait des donuts dignes d'Homer Simpson lui-même !) Puis nous avons flâné dans un centre commercial où nous nous sommes offert quelques produits de beauté, avant de dîner dans un restau Tex-Mex où nous nous sommes régalées : un salutaire approvisionnement en calories suite auquel nous étions parées pour le retour au bercail dans le froid ! Après que j’ai pris une bonne douche bien chaude et réparatrice, nous avons regardé “Into the wild” qui est un film bien joli mais quand même assez dérangeant. Heureusement, là aussi, notre bonne humeur naturelle a repris le dessus. Mieux valait être en forme pour le lendemain, jour programmé de mon examen.
Mais je raconterai ça dans un autre article. Je me rends compte que celui-là est déjà très long. Et celui qui va suivre ne sera pas bien court non plus ! Je reprends l’habitude des articles kilométriques ! Les mauvaises habitudes, on ne les perd pas comme ça ! J’espère que je n’ai pas découragé trop de lecteurs en cours de route !