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28 mars 2016

Retour des malheurs de Céleste.

Suite à ce séjour parisien, je regagnai le bureau pour quelques semaines avant que n'arrivent les véritables congés d'été : des vacances paisibles et placées sous le signe de la famille puisque la première semaine s'est déroulée dans le Lot où nous étions parties fêter le premier anniversaire de ma petite-nièce Mila. 

Mila a grandi.

Maëlys à la rescousse !
Passer du temps dans cette ville où nous avions vécu tant d'années, profiter de magnifiques journées d'été, revoir tous nos proches a été un vrai bonheur et une très agréable occasion de se ressourcer. 

Les quinze jours suivants, nous sommes restées tranquillement chez nous où c'est le reste de notre famille qui est venue nous rendre visite. 

Et c'est à l'occasion d'une de ces visites que s'est produit un évènement qui a mis en jeu la santé de mon pauvre chat Céleste, décidément abonné à une malchance chronique ! 

Est-ce à cause de trop de bruit ou trop de mouvement dans cette maison d'ordinaire si calme ? Toujours est-il que mon pauvre chat qui se prélassait tranquillement sur un rebord de fenêtre comme à son habitude a soudain perdu l'équilibre et a basculé dans le vide... heureusement pour tomber sur le capot de la voiture de Maman, garée juste en-dessous ! Non mais je vous demande un peu ! Ce chat a déjà peur des souris et n'aime pas le lait, voila qu'en plus il ne tient pas en équilibre sur le rebord d'une fenêtre ! Malgré tout ça, on tient à lui et même si Maman protestait au nom de sa voiture légèrement impactée, j'étais tout de même rassurée qu'il s'en soit sorti sans dommage... du moins le croyais-je ! 

Hélas, quelques jours plus tard, ses vomissements chroniques l'ont repris et il a commencé à redevenir amorphe comme il l'avait été quelques mois plus tôt ! Nous l'avons donc emmené chez le vétérinaire qui a diagnostiqué une pancreéatite post-traumatique mais qui m'a fait aussi très peur avec une suspicion de PIF (Péritonite Infectieuse Féline), une maladie souvent mortelle, ainsi que des histoires de créatine trop basse, de risque de blocage des reins et de crise cardiaque ! Bref, toute une batterie d'examens qu'il serait trop long de détailler ici et pas moins de deux séjours en clinique vétérinaire ! L'y reconduire une seconde fois alors que je le croyais guéri a été vraiment un crève-cœur mais il s'est toujours laissé soigner avec beaucoup de docilité, pauvre petit père !

Céleste en clinique vétérinaire.
Je n'évoquerai même pas le prix qu'ont pu me coûter ces deux villégiatures mais disons que j'aurais sans doute pu m'offrir une semaine de vacances au bort de l'eau pour le même montant ! Qu'importe : quand on aime on ne compte pas et l'essentiel était quand même que mon petit Céleste soit rétabli, ce qui fut finalement le cas. Il a pris son traitement avec toujours beaucoup d'abnégation et il a vu son alimentation changer de manière drastique mais au moins, il a pu se rétablir... même si nous n'en avions pas fini, avec ses problèmes de santé ! Mais ceci fera l'objet d'un nouvel article.

01 mars 2016

Mais où avais-je la tête ?

Il me semblait bien que j'avais oublié un point essentiel lors de la rédaction de mon dernier article sur notre visite au musée du Nemours pour l'exposition "Néandertal, l'Européen". Et pour cause ! J'ai omis le détail le plus réjouissant ! 

L'exposition comprenait un dispositif assez ludique permettant aux visiteurs de se faire prendre en photo de profil et de voir leur portrait légèrement modifier de manière à pouvoir comparer leur aspect actuel à celui qu'ils auraient pu avoir s'ils avaient été des Néanderthaliens. Il va de soi que Tinky et moi n'avons pas hésité à jouer le jeu, trop amusées (et même vaguement fébriles !) à l'idée de découvrir ce à quoi nous aurions pu ressembler une fois "néanderthalisées". Malheureusement, je n'ai pas les portraits de mon amie mais voici les miens et finalement, je n'y trouve pas une différence si fondamentale que ça ! 






La chose, en tout cas, a eu le mérite de bien nous amuser et je me demande comment j'ai pu oublier de la raconter ! 

La faute à une météo trop caniculaire, sans doute ! J'ai rarement eu aussi chaud de ma vie et il est probable que le soleil m'ait légèrement tapé sur la tête ! Même pendant la mémorable canicule de 2003, je n'avais pas à ce point souffert de la chaleur ! Il faut dire qu'à ce moment-là, je passais des vacances en famille à Biarritz et me trouvais la plupart du temps dans l'eau ! Certes, nous avions remarqué, le soir, que nous n'avions pas besoin de l'habituelle petite laine lors de nos balades en bord de mer mais nous ne nous en étions pas spécialement alarmés. La terrible réalité, nous ne l'avions découverte qu'à nôtre retour !

Mais pour ce qui est de ce séjour parisien, aucun besoin de recourir aux infos pour déplorer la canicule ! Une chaleur d'enfer ! Je me rappelle particulièrement un soir où nous sommes allées errer au bord des quais de Seine en quête de quelque courant d'air frais. D'autres avaient eu la même idée que nous et erraient lamentablement, se traînant tels des zombies le long des rues ! Nous ne devions guère être plus fraîches et c'est bien le cas de le dire ! A un moment, un couple à regardé sur son smartphone et à constaté qu'il faisait encore 34° alors qu'il était près de 23h30 ! J'ai jeté un œil à mon propre écran et constaté qu'ils disaient vrai ! Un véritable été, dans toute sa superbe et terrible gloire ! Heureusement que, par ailleurs, ces vacances parisiennes ont été géniales !