En ce moment, tout va plus ou moins de travers. Tout fonctionne, cependant, mais un peu bizarrement.
D’abord il y a ces blocus qui perdurent : il y a surtout les blocus annoncés qui n’ont finalement pas lieu et les blocus imprévus qui nous surprennent au petit matin, nous empêchant d’entrer sur notre lieu de travail ou rendant l’accès de ce dernier pour le moins difficile. Le tout fait que l’on part au boulot le matin en se disant qu’on ne pourra peut-être même pas aller bosser… en l’espérant peut-être même secrètement.
Quoique non ! J’ai du boulot jusque par-dessus la tête depuis que je pilote ce Master. Comme je l’ai dit précédemment, j’hérite de ce lourd dossier sans pour autant avoir été soulagée de ceux que je gérais préalablement. Autant dire que mes journées sont bien remplies ! Il est loin le temps où j’arrivais à jeter un œil sur Internet entre deux dossiers ! Maintenant, j’ai l’impression de traiter tous les dossiers en même temps, ce qui n’est d’ailleurs pas forcément le cas ! L’ensemble est intéressant mais j’ai souvent peur de ne pas parvenir à tout assumer. Jusqu’à présent, les choses se sont plutôt bien passées mais les lecteurs assidus de ce blog, s’il y en a, savent avec quelle facilité je peux douter de moi !
Du coup, même mes vacances, je n’arrive pas à les prendre sérieusement ! J’ai rogné d’un jour mes congés de Toussaint en raison d’une urgence sur ce fichu Master ! Je ne le regrette pas mais ce n’est pas ainsi que je vais réussir à rattraper toutes mes heures sup’ que je dois écouler avant la fin de l’année ! Pour y parvenir, il faudrait que je me mette à travailler seulement six heures par jour et que je prenne mes congés de Noël dès le début du mois de décembre. Evidemment, c’est impossible ! A partir du mois de décembre, je serai totalement seule pour gérer le Master. Pour l’instant, j’y travaille encore avec la personne en charge de ce dossier mais en décembre, elle sera partie. Et en prime, il y aura encore plein d’examens à superviser !
Et comme si cela ne suffisait pas, la Crise nous touche de plein fouet : notre école compte quatre chaudières et il n’y en a plus que deux qui marchent. Résultat, nous travaillons dans des bureaux qui seraient de véritables congélateurs s’il faisait une véritable température de novembre mais heureusement, le temps est encore doux. La nature a du bon, parfois !
Reste la musique et notamment la chorale qui est un moyen parfait pour se défouler. Sauf que les chansons sur lesquelles nous travaillons en ce moment sont tout de même assez difficiles à chanter parce que trop… comiques ! D’une part, nous avons commencé à travailler ceci, qui est assez connu :
Et c’est au pupitre des sopranos, dont je fais partie, qu’il appartient de rythmer la reprise à grand renforts de bruits de gallinacées ! On ne rit pas ! Le pire, est que le résultat est plutôt réussi quand on assemble toutes les voix mais je défie quiconque de rester sérieux au cours des premières répétitions.
Plus redoutable encore est ce titre que nous commençons à bien maîtriser mais qui nous aura fait rire plutôt deux fois qu’une. Je ne connaissais pas du tout mais j’adore : c’est excellent ! Dommage, je n’ai pas trouvé de clip et c’est bien regrettable car la chanson est enregistrée en public et l’audience a l’air de s’amuser follement. On y perd sans doute beaucoup en ne voyant rien mais les paroles valent leur pesant d’or.
Et en plus, si j’ai bien compris, Les Ptits T’hommes, joyeux interprètes de ce petit délire sont des Toulousains ! Nous sommes vraiment les meilleurs !!!
1 commentaire:
Le délire de Souchon, je connaisssais déjà, et je trouvais ça génial... Celui des P'tits T'hommes est digne de Brassens dans ses grands jours... D'ailleurs, ça serait du Brassens, au départ que ça m'étonnerait à peine... Drôle, en tout cas !
Bises... Pom pom pom pom, tagada, pom pom pom pom !!!
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