Nous sommes reparties pour Toulouse dimanche en fin d'après-midi, au terme d'une journée tranquille sur laquelle il n'y a pas grand chose à raconter. Maman n'avait pas vu mon appartement avec la nouvelle installation de meubles. Elle a trouvé que je m'étais bien débrouillée.
Le lundi, je suis retournée au boulot avec la crainte que l'on m'en veuille pour ce que j'avais dit le vendredi précédent mais les choses se sont très bien passées. Aucune remarque, aucune anecdote à en tirer si ce n'est que j'ai terminé un peu tard.
Au retour, j'ai trouvé Maman un peu déprimée alors j'ai décidé de la sortir, malgré tout. Il n'y avait jusqu'à présent qu'un seul restaurant digne de ce nom dans la commune où j'habite. Enfin, il y en avait deux quand je suis venue vivre ici : une pizzeria qui a fermé (et dont les gérants n'étaient autres que les occupants de l'appart' où je vis actuellement !!!!) et donc un restaurant gastronomique absolument sublime (dont j'ai dû parler lors des visites de Gus) mais vraiment très cher. Le genre d'endroit où l'on ne peut pas aller très souvent et encore moins sur un coup de tête ! Nous avions vraiment besoin de petits restos d'appoint et il vient de s'en ouvrir deux pratiquement en même temps : un petit asiatique que je n'ai pas encore testé et une pizzeria-saladerie tenue par un ancien employé d'une boulangerie où j'avais mes habitudes. Le gars est marrant : homo de chez homo, tatoué, péroxydé, extraverti, qui me fait la bise quand j'arrive et me donne du "ma chérie" en veux-tu en voilà mais un gars vraiment adorable. Et son établissement, quoi que modeste, n'est pas désagréable du tout. Maman et moi y avons passé une soirée réconfortante.
De retour à la maison, j'ai fait passer pratiquement la moitié de ma garde-robe sur mon dos pour savoir ce que j'allais mettre au concert et, une fois le choix arrêté, nous sommes enfin allées nous mettre au lit.
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