Mars, et ça repart !

Oui, je sais, elle est un peu facile celle-là et il faudra peut-être même que je vérifie si je n'ai pas déjà utilisé ce titre sur ce blog ! En attendant, cet intitulé se justifie car février s'est terminé d'une manière un peu agitée.

D'abord, j'ai été malade en milieu de semaine ! J'ai chopé la gastro du siècle ! Jeudi, je n'ai pas pu aller travailler et j'ai dormi toute la journée, me forçant simplement à quitter mon lit pour sortir la chienne ou aller chez le médecin ! Ce dernier m'a mise sous traitement pour six jours et il voulait même m'arrêter jusqu'à lundi alors que ce n'est pas trop son truc, de donner des arrêts de travail ! Je me rappelle une fois où j'étais très enrhumée et où je m'étais presque endormie dans sa salle d'attente ; je comptais vraiment sur un petit arrêt car je me sentais épuisée or il n'en avait pas été question ! Et là, pour une fois qu'il était d'accord, c'est moi qui ne pouvais pas me permettre de rester chez moi !

En effet, une délégation lettonne (en fait, Anda et une collègue) étaient attendue à l'ENFA de vendredi à mardi prochain. Je me suis donc vraiment forcée à me rendre au travail vendredi mais j'avoue que c'était vraiment très dur. J'aurais vraiment apprécié de rester au lit encore un jour, malgré le temps magnifique ! Nos lettonnes étaient bien là et entre deux conférences, j'ai même dû leur faire visiter tout l'établissement alors que je tenais tout juste debout ! Le pire, c'est qu'il y avait aussi un repas de travail avec l'équipe de direction et que j'ai à peine pu y toucher !

Et ce n'est pas fini : demain, je veux dire, ce dimanche, je les accompagne l'après-midi avec une collègue au Museum d'Histoire Naturelle de Toulouse et lundi, ce sera la visite du lycée agricole d'Albi toute la journée avec JM suivi d'un dîner chez ce dernier !

Rien que de penser à tout ça, j'ai le vertige, car je ne suis pas encore totalement remise de cette secousse même si je me sens nettement mieux.

Heureusement, sur ces entrefaites, Maman est revenue de Paris ce qui m'épargne, à présent, toutes les allées et venues de la journée pour m'occuper de Myrtille et surtout, j'ai retrouvé sa compagnie qui m'est bien agréable et ça c'est une nouvelle réjouissante.